Jean-Pierre Maurin fabrique actuellement ses dernières ruches qu’il compte installer sur sa propriété. © PHOTO
Le monde des abeilles est, depuis quelques mois, au centre d'au moins deux initiatives.
La première, portée par la municipalité, se propose de créer un rucher communal.
La seconde est lancée par Jean-Pierre Maurin, qui, depuis l'an dernier travaille à la réalisation d'un projet similaire, « uniquement tourné vers la pédagogie », qu'il pense installé sur sa propriété de Fenouillade-Basse.
La première, portée par la municipalité, se propose de créer un rucher communal.
La seconde est lancée par Jean-Pierre Maurin, qui, depuis l'an dernier travaille à la réalisation d'un projet similaire, « uniquement tourné vers la pédagogie », qu'il pense installé sur sa propriété de Fenouillade-Basse.
Privé d'invitation
Ce dernier reproche aujourd'hui à la mairie de lui avoir « piqué son idée ». « J'en avais parlé au maire, Yvon Ventadoux, l'été dernier », rappelle celui qui n'est pas invité à la réunion qui se déroulera mercredi à la mairie.
En effet, une réunion de la Commission du développement durable est organisée. Elle sera animée par la conseillère municipale, Pascale Lamoine, en charge du dossier, et aura pour but de finaliser l'opération initiée par la collectivité. Une opération menée en partenariat avec un apiculteur, installé à Pujols, qui serait chargé de gérer la structure.
La commune fournirait pour sa part le terrain, les matériels, les contrôles sanitaires, les assurances…
Quant à l'apiculteur, il s'engagerait à organiser « au moins cinq animations par an », destinées au grand public, et aux élèves des écoles en particulier.
En contrepartie, « 90 % de la récolte de miel lui reviendraient, les 10 % restant iront à la commune ».
La commune fournirait pour sa part le terrain, les matériels, les contrôles sanitaires, les assurances…
Quant à l'apiculteur, il s'engagerait à organiser « au moins cinq animations par an », destinées au grand public, et aux élèves des écoles en particulier.
En contrepartie, « 90 % de la récolte de miel lui reviendraient, les 10 % restant iront à la commune ».
« Tout cela est à prendre au conditionnel, précise Pascale Lamoine. Ce projet s'inscrit dans le cadre de l'Agenda 21, au titre de la préservation de la biodiversité, de la protection des milieux et des ressources. »
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