dimanche, février 21, 2016

EDF :ATTENTION DANGER COMPTER LINKY


Stop Linky Finistère Le Blog

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    Bienvenue  sur  Stop  Linky  Finistère  !     Logo- Stop Linky-Finistère.png
       

Bonjour à tous!

Voici un blog où vous pourrez trouver l'essentiel des informations sur les nouveaux compteurs communicants Linky qui arrivent en masse dans le Finistère. Voir Articles à droite: 

- Les lettres de refus à adresser à ERDF et au maire de votre commune,
- Les dossiers à imprimer pour envoyer à vos élus,
- Les liens et les articles importants (vidéos, photos, textes...),
- Les articles de presse,
- Les manifestations et les réunions organisées dans la région,
- Les témoignages...etc

*  Pour tous renseignements : "Stop Linky Finistère" groupe Facebook ou  stoplinkyfinistere@orange.fr

 *  Vous pouvez aller voir votre maire avec un dossier (voir l'article " Dossier pour les élus") et vous envoyez une lettre de refus ( Voir dans l'article "Lettres" ) en recommandé avec accusé de réception à ERDF et au maire de votre commune. 

ERDF  BP 314    22003 SAINT BRIEUC cedex 1    /   ou   ERDF Bretagne     Service Clients Linky BP 5  CAUDAN 56855  

  -  Ci-dessous : Pourquoi il faut refuser les compteurs Linky ? :

La loi de transition énergétique, publiée le 18 août 2015, prévoit l’installation de 35 millions de compteurs électriques dits « intelligents », d’ici à 2021. Ils arrivent chez nous dans nos communes comme BOURG-BLANC et MILIZAC, PLOUDALMEZEAU...parfois même installés en force... 
Vu les dangers procurés par ces compteurs (voir ci-dessous) Nous vous conseillons de vous opposer à leur installation dans vos maisons ou immeubles car  vous avez la possibilité de les refuser , il n'y a aucune loi qui l'empêche.
Déclaration universelle des droits de l'homme
Article 3 : "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne"
Article 12 : "Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes"

                     Plusieurs raisons motivent notre démarche :


Ce dispositif va émettre des radiofréquences toxiques issues du CPL (Courant Porteur en Ligne) dans le circuit électrique des habitations dont les câbles - non blindés dans la grande majorité des cas - ne sont pas prévus pour cet usage et il va en résulter la propagation d’ondes électromagnétiques, sachant que ces ondes ont été classées dans le groupe 2 B « comme possiblement cancérigènes » par l’OMS ( 31/05/2011) Une étude de l'ARTAC (Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse www.artac.info) établit la causalité des ondes pour l'électro sensibilité !A la demande de l’association Nationale PRIARTEM, le Ministère de la santé a demandé à  l'ANSES d'une évaluation de l'impact du déploiement massif de cette technologie, remettant, par là-même, la question de santé au centre du dispositif. Dans l'attente du résultat des investigations de l'ANSES, on ne peut garantir l’innocuité de cette nouvelle technologie. Or le déploiement des compteurs a déjà commencé à Ploudalmézeau, Milizac, Bourg Blanc , Crozon… alors que l'étude sur la santé n'a pas été faite.
Les compteurs seront également une source de pollution électromagnétique, ainsi que les antennes qui seront installées sur les transformateurs électriques afin de transmettre les index au fournisseur d’électricité via le réseau de téléphonie mobile.    Des centaines d’études scientifiques indépendantes prouvent la nocivité de ces ondes pour l’ensemble du monde vivant. De plus en plus de personnes y sont intolérantes. Elles vivent un cauchemar innommable. A noter qu’un rapport canadien établit le lien entre l’installation des compteurs à radiofréquences et l’apparition de symptômes d’électro-sensibilité : migraines, insomnies, nausées, vertiges, troubles de la concentration…

- Depuis 2011, en Californie notamment, et au Canada, on commence à démonter ce type de compteurs communicants face aux conséquences sanitaires  ( Nombreuses plaintes : santé, pannes et incendies)  C’est la santé de toute la population qui risque d’être affectée par une irradiation supplémentaire, 24 heures sur 24. 

Les risques d’incendie et de pannes sont réels. Les câbles, fils et appareils électriques ne sont pas conçus pour transporter des radiofréquences. De tels préjudices ont déjà été déplorés dans des logements équipés de ces compteurs. Comme EDF et ERDF dégagent leur responsabilité, comme les assurances ont exclu des garanties les dommages causés par les champs électromagnétiques, la facture sera payée par les particuliers et les professionnels. 

- Les systèmes sans fil peuvent être facilement piratés. L’ensemble du réseau électrique sera ainsi rendu vulnérable au piratage, à l’espionnage, voire au black-out généralisé. La "Télérelève" ce n'est rien d’autre qu'un moyen électronique portant atteinte à la vie privée, allant jusqu’à inquiéter la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés. Plusieurs milliers d’emplois permanents de releveurs seront supprimés, les coupures d’électricité pourront se faire à distance…

- Le coût de ce compteur (200 à 300 euros) sera tôt ou tard répercuté sur les factures. Quant aux services de lecture déportée et de pilotage à distance des consommateurs, ils seront payants ! 

- A noter qu’en Allemagne, les compteurs intelligents ne sont obligatoires que pour les gros consommateurs. 

- Il y a aussi 19 communes de France les refusent, les collectivités locales  étant propriétaires des compteurs. 

DEPARTEMENTS : VERS LA FIN DU RSA ?



"les préfectures nous demandent de ne pas solliciter la mise sous tutelle parce qu'elle signifierait que notre pays est devenu la Grèce".
Pris à la gorge, les départements de France lancent un appel à l'aide. Ils ne peuvent plus financer le revenu de solidarité active (RSA). Ces dernières années, les dotations de l'État n'ont fait que baisser alors que le nombre de bénéficiaires de l'aide ne cesse d'augmenter. La participation des départements a donc explosé, passant d'1,5 à quatre milliards d'euros entre 2012 et 2015.

Départements "en faillite"

Mais les collectivités affirment ne pas avoir cette somme, comme l'explique Dominique Bussereau, président de l'Assemblée des départements. "Si nous ne sommes plus capables d'aider les plus démunis, c'est terrifiant sur le plan social, et ça veut aussi dire que nous allons diminuer les dépenses d'investissement". Le président du Conseil départemental du Nord défend même que les collectivités sont "en faillite", et que "les préfectures nous demandent de ne pas solliciter la mise sous tutelle parce qu'elle signifierait que notre pays est devenu la Grèce".
Une rencontre avec Manuel Valls est prévue pour le 25 février, pour une réponse rapide et claire du gouvernement. Plus d'un million et demi de Français touchent actuellement le RSA

samedi, février 20, 2016

GLYPHOSATE


Ce désherbant pourrait empoisonner le bétail et les hommes. Document inédit sur un herbicide très puissant, peut-être trop...

Plus d'actualités pour "france info video glyphosate"

Il tue les mauvaises herbes, mais il empoisonnerait le bétail et les hommes. Cancers, malformations, voici un document inédit sur un herbicide très utilisé dans l'agriculture.
En France, au Danemark ou encore en Argentine, le glyphosate est une molécule omniprésente dans les terres agricoles comme dans les jardins privés. C'est l'un des composants du Roundup, cet herbicide best-seller de la multinationale Monsanto.

Les mauvaises herbes font de la résistance

Des porcelets qui naissent avec deux têtes, des enfants qui viennent au monde avec de graves malformations et des mauvaises herbes qui résistent toujours plus à l'herbicide et appelle à un usage encore plus massif : les accusations ne manquent pas. Le problème est toujours de les prouver pour obtenir une éventuelle interdiction. On en est loin.
Un reportage de Pierre Morel et Mauricio Rabuffetti, Rémi Lescaut, Julien Barcak, Marc Garmirian, Richard Puech et Jacques Avalos.

jeudi, février 18, 2016

QUE PRÉVOIT LA RÉFORME DU DROIT DU TRAVAIL ?

DANS L'ACTU - PAR SUDOUEST.FR AVEC AFP

Que contient le texte ?

  • Travailler jusqu'à 60 heures
La durée légale hebdomadaire reste de 35 heures. A partir de la 36e heure, donc, vous serez payé en heures supplémentaires. Mais jusqu'à présent, ces heures supplémentaires ne pouvaient pas excéder un certain seuil. Il était illégal pour l'entreprise de demander à son employé de travailler plus de 44 heures, ou plus de 10 heures par jour.
Désormais ce seuil passe à 46 heures et 12 heures par jour, voire même 60 heures en cas de "circonstances exceptionnelles".
Par ailleurs, auparavant, pour augmenter autant le nombre d'heures travaillées, l’entreprise devait obtenir l’accord de la Direction du travail. Une étape désormais supprimée.
  • L'astreinte considérée comme du repos
Les journées ou les heures d'astreintes, lors desquelles un salarié estréquisitionné "en réserve" et doit se tenir prêt à partir travailler à tout moment si la situation l'exige, étaient auparavant considérées comme du travail.
Désormais, si pendant une journée d'astreinte l'entreprise ne fait finalement pas appel à vous (même si vous vous êtes tenus à sa disposition), cette journée sera décomptée de vos jours de repos.
  • Fin des 11 heures de repos consécutives pour les cadres
Les heures de travail des cadres sont comptabilisées en forfait jour. Entre deux jours de travail, ils doivent bénéficier d'au moins 11 heures de repos consécutives. Désormais, c'est terminé. Ces heures peuvent être fractionnées en plusieurs petites pauses.
De plus, les entreprises pourront maintenant passer leurs employés au forfait jour sans négocier avec les syndicats mais seulement avec les employés en question.
  • Baisses de salaires même si l'entreprise va bien
Jusqu'à présent, certaines entreprises en difficultés financières pouvaient, avec l'accord de leurs salariés et des syndicats, décider dediminuer pendant quelques temps (deux ans maximum) le temps de travail (et donc le salaire), ou augmenter le temps de travail sans augmenter le salaire, afin de se remettre à flot sans licencier.
Désormais, les entreprises pourront appliquer cet accord même si leur santé financière est bonne, en utilisant par exemple ces largesses pour partir à la conquête de nouveaux marchés. Si la majorité des employés sont d'accord, la modification sera établie.
Les salariés qui seront contre pourront être licenciés pour "cause réelle et sérieuse", et non plus pour "licenciement économique".
  • Les indemnités prud'homales plafonnées
Jusqu'à présent, si une entreprise licenciait abusivement un employé, ce dernier pouvait la poursuivre aux Prud'hommes pour espérer toucher des indemnités, dont le montant était croissant suivant l'ancienneté.
Désormais, ce montant est plafonné : trois mois de salaire si vous avez moins de deux ans d’ancienneté, six mois entre deux et quatre ans, neuf mois entre cinq et neuf ans, douze mois pour 10 à 19 ans. A partir de 20 ans d’ancienneté, l’indemnité s’élèvera à quinze mois de salaire et ce quel que soit le temps que vous avez passé dans l'entreprise.
  • Semaine de travail plus longue pour les apprentis
Jusqu'à présent, les apprentis de moins de 18 ans ne pouvaient travailler que huit heures par jour en entreprise et 35 heures par semaine maximum.
Désormais, "si des raisons objectives le justifient", ils pourronttravailler jusqu'à 10 heures par jour et 40 heurs par semaine. Plus besoin non plus de demander au préalable l'autorisation de l'inspection du travail, les avertir suffira.

Une loi adoptée par la force ?

Myriam El Khomri l'avoue : face à un texte si radical,"le débat (à l'Assemblée) risque d'être très nourri". Or la ministre du Travailsouhaite "convaincre les parlementaires" de voter en faveur de son projet.
Si les négociations échouent, elle n'exclut pas de recourir à la procédure prévue par l’article 49-3 de la Constitution, qui permet de faire passer une loi en force sans l'accord du parlement. 

jeudi, février 11, 2016

DES TREMBLEMENTS DE TERRE A CAUSE DE L'EXPLOITATION DU GAZ DE SCHISTE



Les silhouettes des puits de forage et de fracturation étaient jusque-là synonymes de prospérité en Oklahoma. Ces engins sont partout, mais leur avenir pourrait s'assombrir. Ils provoquent des tremblements de terre importants : 900 séismes d'une magnitude supérieure à 3 sur l'échelle de Richter ont été ressentis rien qu'en 2015. Les dégâts s'accumulent et les pertes sont difficiles à chiffrer.
Lisa Griggs a subi six mois de travaux dans sa maison après une nuit où elle a compté 53 secousses. "J'ai eu peur parce qu'il y en avait tellement, je craignais que ça soit les prémices d'un plus gros séisme", indique-t-elle au micro de France 2.

La fracturation hydraulique est pointée du doigt

Pour le sismologue Todd Halihan, ces séismes sont causés par l'exploitation du sous-sol de la région. "Il fut un temps, on détectait peut-être trois séismes par an. Maintenant, on en est à trois par jour", explique ce professeur de l'école de géologie d'Oklahoma. La fracturation hydraulique est mise en cause. Pour les forages, il faut d'énormes quantités d'eau mélangée à des produits toxiques. Pour éviter toute pollution, ces eaux usées sont enfouies en profondeur, mais quand une faille se trouve à proximité, les plaques terrestres peuvent se soulever, d'où les tremblements de terre.
Après avoir nié l'évidence, l'Etat envisage de fermer des puits. Mais l'industrie pétrolière refuse et toute la région dépend de cette économie. Les scientifiques craignent que les plaines d'Oklahoma soient touchées par des séismes de plus en plus forts si rien n'est fait.

GRAND RASSEMBLEMENT CITOYEN CONTRE LE PÉTROLE ET LE GAZ DE SCHISTE

DIMANCHE 28 FÉVRIER À BARJAC (30)
Mobilisons-nous pour dire définitivement non au gaz et au pétrole de schiste

mercredi, février 10, 2016

ILS N'ONT PAS PRIS PART AU VOTE LUNDI

  • DEMANDEZ LEUR POURQUOI
LISTE DES DEPUTES ABSENTS LUNDI