Dans une interview à "L'Hebdo des socialistes" en juillet 2007, repérée par BMFTV, le premier secrétaire du PS de l’époque ne cachait ainsi pas son hostilité contre l’article 49-3 de la Constitution :
Tout ce qui concourra à l'affermissement des pouvoirs du Parlement aura notre agrément", jugeait-il, alors que Nicolas Sarkozy venait d'être élu président.
L'ex-patron des socialistes se déclarait en ce sens favorable à la "suppression de l’article 49-3".
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